Il n’a pas fallu attendre la fin de la Coupe du Monde de foot pour que l’image du sport professionnel se dégrade, alors que tous les jours, des milliers de bénévoles se battent pour transmettre des valeurs bien différentes de celles défendues au plus haut niveau.
Un écart qui agace Marcel Retailleau, président du CROS (Comité Régional Olympique et Sportif).