Âgé de 60, cet entrepreneur du Mans est secrétaire départemental du FN dans la Sarthe. Entré au FN en 1984, il a été chef de cabinet de Jean-Marie Le Pen entre 1988 et 1992, puis conseiller régional et municipal dans le nord de la France. Aujourd’hui tête de liste Front National pour les élections régionales en Pays de la Loire, le candidat dresse ses priorités pour les Pays de la Loire.
Il propose, en termes d’économie, une aide de la région à destination des PME et des TPE artisans/comemrçants car ce sont eux qui ont la plus forte capacité à créer de l’emploi non délocalisable. Pascal Gannat soumet aussi l’idée d’un label régional ainsi que celle d’un mise en place de formations « sur mesure » car pour lui, c’est à la région de s’adapter aux besoins locaux des entreprises. Il faut donc créer un terrain favorable à l’emploi.
Dans le cadre des transports, le candidat relève bien une inégalité des territoires selon l’endroit où vivent les familles. Il refute le projet de Christophe Clergeau sur la gratuité des transports scolaires. Il propose à la place un barême qui prendrait en considération les revenus et le nombre d’enfants des familles.
Concernant l’aéroport de NDDL, il s’oppose radicalement au projet. Pour lui ce nouvel aéroport est une illusion.
Sur l’éducation, il s’exprime en faveur des établissements issus de l’enseignement catholique. Pour lui il faut revaloriser ces établissements délaissés par la gauche au profit de l’enseignement public. Il veut plsu d’équité entre école publique et écolée privée en aidant massivement les lycées et collèges catholiques.
Son action essentielle sera de diminuer de 1% le budget de a région car il faut montrer l’exemple face à la crise que nous subissons. Il souhaite par ailleurs réorienter la culture en favorisant la culture populaire. La culture artistique ne doit pas être un luxe, elle doit palier à la desespérace, à la délinquance et à la perte du lien social.
Il est par ailleurs à l’encontre de l’aide proposée au réfugiés sur les Pays de la Loire. Selon son opinion la région ne doit pas aider massivement sur le plan budgétaire cet afflux de, souvent, « faux réfugiés mais aider les réfugiés au plus près de leur pays.