Scopitone revient du 19 au 23 septembre pour 5 jours dédiés aux arts numériques et à la musique électronique. Pour l’occasion, Prun‘ reçoit Jean-Michel Dupat et Cédric Huchet, programmateurs musique et arts numérique du festival. Pendant une heure, ils échangent sur la programmation de cette édition 2018.
Une programmation pour casser les codes et surprendre
La volonté de l’équipe organisatrice est de mettre en avant des propositions dont le mode d’écriture et de diffusion est dans une recherche permanente et dans une démarche de réinventer les choses.
Au programme de cette édition de Scopitone : des expositions sur des thématiques allant de la forme du son à la géologie en passant par la pollution des ondes ; des performances immersives et des Nuits Electro qui vont au-delà de la simple proposition musicale ; des arts numériques qui s’invitent au Musée des Arts de Nantes ; …
Entre autres, les spectateurs sont invités à découvrir, dans le cadre d’une co-production avec la Société des Arts Technologiques de Montréal, un dôme où se joueront des performances immersives son et image. En effet, Scopitone accueillera une réplique nomade de la Satosphère montréalaise, un lieu permanent dédié à la création de performances et de lives diffusés dans un dôme.
Des nuits électro très techno
Depuis 3 ans, les festivaliers assistent à des nuits électro à la programmation beaucoup plus techno que par le passé. Un virage qui s’explique notamment par le changement de lieu, de format et de contraintes techniques, expliquent les programmateurs de Scopitone.
Jean-Michel Dupat et Cédric Huchet décortiquent la programmation musicale de ces 5 jours. Que ce soit au Pôle Etudiant, à la Scène Michelet ou à Stereolux, des artistes venus de partout proposeront DJ sets et lives aux influences variées.