Arnaud Boissières, désormais à cinq cent mille des Sables-d’Olonne, nous raconte comment il envisage sa fin de course, entre excitation et appréhension, avant sa probable arrivée jeudi.
Il évoque les jambes plus lourdes et les gestes plus lents après cent jours en mer, mais également les efforts pour ne pas se relâcher en approchant des côtes, et rester attentif à tout problème, comme c’est le cas de Conrad Colman, en stand-by après le démâtage de son bateau.
Arnaud Boissières a surtout hâte de retrouver sa famille et son jeune enfant, né peu avant le départ de la course.