Des ambiances changeantes, ponctuées de sons comme des images. Une sensation de voyager dans une atmosphère qui serait orchestrée par le Floyd, où des silhouettes de personnages se déplacent ; un Gainsbourg dans un couloir, un Bashung à la fenêtre.
Le dernier album de Michel Eyan : « Coeur mangé » est un ticket pour une salle de cinéma de plein air, composé de 14 chansons comme autant de courts métrages à la réalisation sublime.