La cinquième édition de l’Eté indien a démarré avec l’inauguration festive de La Fabrique à deux pas des Nefs et la performance remarquée du Grubic’scube. Quatre musiciens enfermés dans une cage s’en sont donné à cœur joie pour reprendre le standard «The girl from Ipanema».
Après l’Arizona, Pierre Orefice, directeur des Machines de l’Ile, convie le public à prendre part aux voyages : Agadir, Anvers et Riga… Autant de destinations pour des propositions artistiques variées avec un troisième rendez-vous et une chanteuse amazighes, Fatima Tabaamrant, première femme à avoir pu fonder sa troupe et chanter la condition des femmes. Dans ses chants, elle dépeint une critique sociale et morale de la société berbère. A voir vendredi 7 octobre.
L’été indien pour cette cinquième édition, souhaite célébrer 20 ans de trafics d’artistes entre Nantes et Anvers avec un point d’orgue, le concert évènement de l’artiste belge renommé Bart Peeters et Les Belges, vendredi 14 octobre. Le groupe est marqué par des influences balkaniques, folk, reggae, africaines et arabes.
Enfin, la programmation prend fin samedi 22 octobre, en Lettonie avec le son très éclectique de Triana Park et la carte blanche à Nantes Europe Express qui contribue à l’émergence d’une identité européenne à Nantes.
Pierre Orefice, directeur des Machines de l’Ile, parcoure la programmation musicale de cette cinquième édition de l’Eté indien au micro de Gaël Magloire.