Les Français boudent les commémorations de la Première guerre mondiale. On attend peu de monde à la cérémonie de dimanche 11 novembre à La Flèche. Pourtant, les Français se passionnent de plus en plus pour les reconstitutions historiques. Stéphane Tison, maître de conférence en histoire contemporaine à l’université du Maine, tente de comprendre ce paradoxe.
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