Nous sommes allés à la rencontre de Loukoko à l’occasion de la sortie de son deuxième EP. Entre deux gorgées de café, nous avons entre autre discuté de rencontres musicales et d’autoproduction.
Loukoko
Interview Loukoko par Kim Boëffard
Retour sur le parcours de la jeune productrice parisienne qui évolue entre sa MPC et sa batterie électronique.
Son nom de scène, c’est le nom d’une ville du Congo-Brazzaville, un lieu qu’elle connaît mais qu’elle a surtout choisi en rapport à une personne qui lui est chère, là dessus on n’en saura pas plus.
Romy, c’est son nom à la ville, a grandi entre l’Angleterre, l’Espagne et le Congo. Bercée par la musique anglaise depuis toute petite, elle découvre la drum’n’bass à 13 ans, style qui influence aujourd’hui ses compositions. Si son instrument de prédilection, la guitare, ne la quitte jamais vraiment, elle s’est aussi essayé à la batterie, à la basse et au piano.
Après des premières compositions à la guitare sous son vrai nom, elle donne naissance au projet Loukoko. Elle fait les premières parties de l’américain BØRNS et sort son premier EP « Down » en janvier 2015 sur le label parisien Records Collection.
L’artwork du vinyle offre un visuel bleu roi, où l’on devine son visage caché sous un voile fin, mystère et volupté. À l’instar de sa musique qui nous plonge dans un univers doux, chaud et sensuel.
Loukoko est une jeune demoiselle exaltée et passionnée.
Son deuxième EP sort cette semaine, il est composé de quatre titres dont deux featuring avec ses fidèles comparses Charlotte Ravinet et Venor NRS. Même visuel mais cette fois teinté de jaune, l’occasion de discerner d’avantage les traits de son visage.
Prun’ est allé à la rencontre de Loukoko à l’occasion de la sortie de son deuxième EP. Retour sur le parcours de la jeune productrice parisienne qui évolue entre sa MPC et sa batterie électronique.
Son nom de scène, c’est le nom d’une ville du Congo-Brazzaville, un lieu qu’elle connaît mais qu’elle a surtout choisi en rapport à une personne qui lui est chère, là dessus on n’en saura pas plus.
Romy, c’est son nom à la ville, a grandi entre l’Angleterre, l’Espagne et le Congo. Bercée par la musique anglaise depuis toute petite, elle découvre la drum’n’bass à 13 ans, style qui influence aujourd’hui ses compositions. Si son instrument de prédilection, la guitare, ne la quitte jamais vraiment, elle s’est aussi essayé à la batterie, à la basse et au piano.
Après des premières compositions à la guitare sous son vrai nom, elle donne naissance au projet Loukoko. Elle fait les premières parties de l’américain BØRNS et sort son premier EP « Down » en janvier 2015 sur le label parisien Records Collection.
L’artwork du vinyle offre un visuel bleu roi, où l’on devine son visage caché sous un voile fin, mystère et volupté. À l’instar de sa musique qui nous plonge dans un univers doux, chaud et sensuel.
Loukoko est une jeune demoiselle exaltée et passionnée. Son deuxième EP est sorti la semaine dernière, il est composé de quatre titres dont deux featuring avec ses fidèles comparses Charlotte Ravinet et Venor NRS. Même visuel mais cette fois teinté de jaune, l’occasion de discerner davantage les traits de son visage.
nop