La sortie de son avant-dernier album a fait parler de lui. Pour In the Garden, Mano Solo avait choisi l’autoproduction, chemin difficile, même pour un artiste de sa trempe, au public assez fidèle. Le pari était risqué et l’issue connue depuis le début par le chanteur: les artistes ont besoin des maisons de disques.
C’est ce qu’il expliquait à L’Autre Radio, qui a eu l’occasion de lui poser quelques questions en janvier 2009. Et même au téléphone, Mano Solo, l’homme de convictions et de combat, ne baissait pas souvent la garde.